****JavaScript based drop down DHTML menu generated by NavStudio. (OpenCube Inc. - http://www.opencube.com)****
ATTENTION : Le Forum
dUniversimmo
a migré sur une nouvelle
plate-forme, sécurisée, et à la pointe de ce
qui se fait en matière de forums de discussion. Pour
découvrir le nouveau Forum : cliquez
ici - découvrez aussi le "Portail"
de cette nouvelle plate-forme Petite contrainte dont nous vous demandons de ne pas nous tenir rigueur,
liée à notre souhait de nettoyer un fichier de membres
alourdi par le temps :
la nécessité, si vous étiez déjà
enregistré(e) dans lancien forum, de vous ré-enregistrer
sur le nouveau , si possible en conservant le même identifiant
(pseudo). Ce
forum est désormais fermé, mais il restera consultable
sans limite de durée à lurl : http://www.universimmo.com/forum Les
adresses et les liens que vous avez pu créer vers ses sujets
restent bien entendu totalement opérationnels.
Par contre tous les nouveaux sujets doivent être
créés sur la nouvelle plate-forme. Pour
toutes remarques, questions ou suggestions concernant cette migration,
nous vous proposons un sujet dans la section « A
propos de ce forum »
Bon surf
! Léquipe Universimmo
Il est recommandé pour apprécier le site d'avoir une résolution d'écran de 1024x768 (pixels/inch) ou Plus..
Quelqu'un peut il me communiquer des references de juris prudence concernant des contestations sur le prix de vente entre un bailleur et le locataire. La loi de 1989 prévoit le cas où le prix de vente proposé serait nettement inférieur au marché. Mais dans le cas contraire, si le vendeur surestime son bien, que ce passe t'il? Cela peut il remettre en cause le congé donné? Pouvez vous me confirmer que, quelque soit le prix demandé par le vendeur, le locataire doit réagir dans le délai de 2 mois sous peine de quoi il perd toute possibilité de recours (juris prudence existante?), même si le prix s'avère > à celui du marché.
(cf autre article posté il y a quelques jours mais sans retour depuis)