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Roland MAILLET
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1096 réponses |
Posté - 11 janv. 2006 : 09:36:37
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Le Nabot bonjour,il y a effectivement un léger désavantage avec le nouvel indice. Exemple logement type F3 de ma fille Surface 71 M2 loyer hors charge 402 € base 3e trimestre Au 1e janvier 2006 Avec ICC 402 x 1273,25 / 1244,50 = 411,29 € / mensuel Avec IRL 402 x 103,12 / 100,77 = 411,38 € / mensuel Je pense comme vous il faut attendre le 4e trimestre pour ce faire une idée, mais effectivement cela pourrait être un marché de dupes.
( son propriétaire applique l'IRL )
Cordialement
Roland MAILLET |
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Pierre MARIE
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2960 réponses |
Posté - 12 janv. 2006 : 04:36:39
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Billet de Françoise Vaysse, chef du service Economie Entreprises du Moniteur :
"IRL ou les aventures d'une réforme prise sous le coup de l'émotion"
Citation : IRL ou les aventures d'une réforme prise sous le coup de l'émotion, par Françoise Vaysse
BILLET - Dépêche France C'est l'histoire d'une réforme prise sous le coup de l'émotion.
Depuis des années, les revalorisations annuelles des loyers en cours étaient calées sur l'indice du coût de la construction, l'ICC. Ou plus précisément, depuis le 1er janvier 1995 (date d'une première réforme), sur la variation de la moyenne des quatre trimestres de l'ICC, dite "moyenne associée", publiée trimestriellement par l'INSEE.
Un fort mauvais indice cet ICC. Tous les spécialistes le reconnaissaient mais faute de mieux, on le gardait. Sa réforme faisait partie des serpents de mer du petit monde du logement. Il y a plusieurs années, un précédent ministre avait tenté de lui substituer un autre outil mais celui-ci n'avait jamais été avalisé par la commission de concertation dans laquelle siègent propriétaires et locataires.
Or, après avoir plongé à des niveaux très bas pendant des années sans que personne – sauf les bailleurs – s'en émeuve, l'ICC s'est mis à flamber après le troisième trimestre 2000. On l'a vu culminer à 5,74% (T3 2004) après 5,41% le trimestre précédent! Emotion des locataires, relayés par les associations de défense, les syndicats, quelques députés… On a donc commencé à reparler de réforme! Le gouvernement décidait de rouvrir le dossier. Reprenant les grandes lignes du projet précédent, il concoctait un nouvel indice, l'IRL. Plus proche de l'indice des prix à la consommation, puisqu'il entre à 60% dans sa composition, l'IRL devait lisser les hauts et les bas de l'ancien ICC et, pour tout dire, tempérer la hausse des loyers. En plein débat sur l'évolution du pouvoir d'achat des Français, cet automne, le gouvernement avait même accéléré l'application de la réforme, décidant d'appliquer le nouvel indice le 1er janvier 2006 et non le 1er juillet, comme prévu.
A la première publication de l'IRL, il y a une dizaine de jours, tout s'est bien passé: l'ancien ICC ressortait à 4,83% alors que le nouvel IRL n'était qu'à 2,64%. Patatras! On se prend à douter à la deuxième publication. Car l'IRL ressort à 2,33% alors que l'ancien ICC n'est qu'à 2,31%... Certes, l'écart est minime mais il semble, selon les experts, que la moyenne associée de l'ICC n'a pas atteint sont point bas…
Que penser? D'abord que les locataires de meublés, qui restent soumis à l'ICC, ont de la chance. A l'inverse, que le gouvernement n'en a pas… Plus fondamentalement, que casser un thermomètre ne sert à rien si les causes du mal ne sont pas soignées…la pénurie de logements locatifs à prix abordables en est une…
Françoise Vaysse est chef du service Economie Entreprises du Moniteur
(10/01/2006)
http://www.lemoniteur-expert.com/depeches/contenu/depeche.asp?dep_id=D76D8DEF7&mode=0
Pierre |
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ARdL
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1967 réponses |
Posté - 17 janv. 2006 : 03:02:10
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Excellent texte de référence de PIERRE MARIE
LES LOYERS NE SONT PAS TROP CHERS, CE SONT LES REVENUS QUI SONT TROP BAS. et l'offre de logement trop faible Dans le détail vu que la masse salariale publique augmente de 4-6% par an ce sont les gens du privé qui encaissent (façon de parler) la baisse de revenus !
Mes petits tableaux Excel avec macro me montrent NOIR SUR BLANC sur un echantillon de logements parisiens
Hausse charges récupérables +4% mini Hausse charges non récup : + 7% Sur plusieurs années
La hausse des loyers touchent des gens dans les plus grandes tranches d'impôts (>50% ISF + IRPP + TF + CSG/RDS + ) Bref l'Etat encaisse à plus de 50% les hausses car les seuils des tranches augmentent moins que les loyers !
Je discute économie et non social, il ne faut pas mélanger ! Les loyers doivent suivre les charges L'Etat fait juste baisser les revenus des propriétaires pour compenser une baisse de revenus des locataires
Cela s'appelle Deshabiller Paul pour habiller Jean Mais au passage en deshabillant Paul, on ne peut habiller Jean que de moitié !
Voir plus loin : ce débat pour masquer l'absnece de réforme et la dérive inquiétante des comptes publics et des comptes privés aussi !
On notera qu'au même moment l'Etat "braquait les systemes de retraite du privé pour adosser EDF à faible coût pour l'Etat ou EDF". En fait, c'est un tour de passe-passe de communication. 1-80% de la population active se fait arnaquer sur le long terme avec effet cosmetique immediat (la soulte versée rentre dans les revenus 2005 pour couter beaucoup plus sur les 30 années suivantes) 2-Le gouvernement focalise l'attention sur les propriétaires et fait un geste social vers les 40% de locataires sur le dos des propriétaires bailleurs ou occupants 60% de la population
(ou trop de gens avec des hauts revenus dans les logements sociaux, mais c'est un autre débat !)
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ARdL
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1967 réponses |
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LeNabot
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13018 réponses |
Posté - 17 janv. 2006 : 07:26:21
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Citation : Initialement entré par ARdL
Envolée des charges de copro (totales dont récupérables) + 5.7% en 2004
http://www.universimmo.com/actu/uniactu00x.asp?Article_Code=430
A quand une manif pour les propriétaires ?
Ecoutez ARdL. En bon investisseur, il ne faut pas perdre de temps à pleurnicher. Mais plutôt songer à placer ses billes ailleurs que dans l'immobilier. |
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MARGOULIN
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880 réponses |
Posté - 17 janv. 2006 : 09:51:11
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Citation : Initialement entré par ARdL
LES LOYERS NE SONT PAS TROP CHERS, CE SONT LES REVENUS QUI SONT TROP BAS. et l'offre de logement trop faible
Bonjour, C'est lié aux deux.Pour le même logement en 1977,il fallait environ 1/4 de salaire au SMIC(40heures) pour une location.Actuellement,il faut environ 1/2 salaire(35heures),il ne faut pas chercher plus loin. |
Edité par - MARGOULIN le 17 janv. 2006 11:37:39 |
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quelboulot
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6445 réponses |
Posté - 17 janv. 2006 : 13:17:00
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Margoulin,
Je serais tout à fait en accord avec vous si vous pouviez étayer vos propos de donnée chiffrées avec sources SVP.
Cela m'évitera de chercher.
Christophe |
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LeNabot
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13018 réponses |
Posté - 17 janv. 2006 : 19:18:07
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Citation : Initialement entré par quelboulot
Cela m'évitera de chercher.
Christophe
Un lien : http://www.insee.fr/fr/indicateur/smic.htm
En 1980 (il n'y a rien avant) smic mensuel : 2 317,42 Francs français.
En 2005 1 357,07 EUR pour 169 heures de travail mensuel.
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Edité par - LeNabot le 17 janv. 2006 19:18:25 |
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quelboulot
Modérateur
6445 réponses |
Posté - 17 janv. 2006 : 19:37:28
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D'accord LeNabot,
Je connais le site INSEE.
Ce qui est gênant, c'est que les valeurs annoncées pour le SMIC sont "brutes" alors que les prélèvements sociaux entre ces dates ont évolué et pas dans le sens de la diminution.
Cela ne reste qu'une approche de la réalité !
Voir sur ce point le décrochage très important entre les valeurs SMIC brut et net entre les années 70 et 2004. Cela se passe de commentaire.
Graphique 5, page 4 du document objet du lien ci-dessous
http://www.minefi.gouv.fr/Prevision/dpae/pdf/2004-043-39.pdf
Christophe |
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MARGOULIN
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880 réponses |
Posté - 17 janv. 2006 : 21:46:24
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Citation : Initialement entré par LeNabot
Citation : Initialement entré par quelboulot
Cela m'évitera de chercher.
Christophe
Un lien : http://www.insee.fr/fr/indicateur/smic.htm
En 1980 (il n'y a rien avant) smic mensuel : 2 317,42 Francs français.
En 2005 1 357,07 EUR pour 169 heures de travail mensuel.
LeNabot, http://www.cdg18.fr/smic.htm Tout est dit... Mais bon,vous n'avez peut-être pas l'âge pour des souvenirs de cette époque...! |
Edité par - MARGOULIN le 17 janv. 2006 21:52:13 |
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MARGOULIN
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880 réponses |
Posté - 17 janv. 2006 : 21:48:41
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Citation : Initialement entré par quelboulot
Margoulin,
Je serais tout à fait en accord avec vous si vous pouviez étayer vos propos de donnée chiffrées avec sources SVP.
Cela m'évitera de chercher.
Christophe
Quelboulot, Désolé,je n'ai pas le temps de chercher mais bon,vous n'êtes pas obligé de me croire. |
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Roland MAILLET
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1096 réponses |
Posté - 18 janv. 2006 : 00:08:43
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Margoulin, si je vpos suis bien. En 1977 pour 40 h le SMIC était à 1740 F ou 265 € si le smicard consacre une location à 25 % de ces revenus cela représentait à l'époque 66 € En 2005 pour 39 h le SMIC est a 1357 € si il consacre 40 % de son salaire pour son loyer cela représente 542 €
De 1977 à 2005 le SMIC à augmenté de 412 % De 1997 à 2005 le loyer à augmenté de 721 % Si l'on considère que ce n'est pas les loyers qui sont trop élevés mais les salaires qui sont trop bas le SMIC devrait être pour 39 h de 2176 €
Cordialement.
Roland MAILLET |
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MARGOULIN
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880 réponses |
Posté - 18 janv. 2006 : 08:02:28
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Citation : Initialement entré par Roland MAILLET
Margoulin, si je vpos suis bien. En 1977 pour 40 h le SMIC était à 1740 F ou 265 € si le smicard consacre une location à 25 % de ces revenus cela représentait à l'époque 66 € En 2005 pour 39 h le SMIC est a 1357 € si il consacre 40 % de son salaire pour son loyer cela représente 542 €
De 1977 à 2005 le SMIC à augmenté de 412 % De 1997 à 2005 le loyer à augmenté de 721 % Si l'on considère que ce n'est pas les loyers qui sont trop élevés mais les salaires qui sont trop bas le SMIC devrait être pour 39 h de 2176 €
Cordialement.
Roland MAILLET
Roland MAILLET, Vous voulez dire de 1977 à 2005 que le loyer a augmenté de 721%! |
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Roland MAILLET
Pilier de forums
1096 réponses |
Posté - 18 janv. 2006 : 09:17:12
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Margoulin bonjour, en me référant à votre analyse oui. 1)1977 SMIC 40 h = 265 € loyer 25 % = 66 € 2)2005 SMIC 39 h = 1357 € loyer 40 % = 542 €
a) hausse du SMIC de 1977 à 2005 = 412 % b) hausse du loyer de 1977 à 2005 = 721 %
Ce qui démontre que si les loyers ne sont actuellementpas trop élevés ce sont les salaires qui sont trop bas.
Pour ma part je considère qu'un smicard devrait consacrer entre 25 et 30 % de ces revenus pour payer son loyer.
Exemple : loyer 542 € salaire 2168 € ou 25 %
A mon avis les loyers sont trop chers.( 25 % de 1357 € = 400 € )
Cordialement.
Roland MAILLET |
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MARGOULIN
Pilier de forums
880 réponses |
Posté - 18 janv. 2006 : 12:01:08
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Citation : Initialement entré par Roland MAILLET
Margoulin bonjour, en me référant à votre analyse oui. 1)1977 SMIC 40 h = 265 € loyer 25 % = 66 € 2)2005 SMIC 39 h = 1357 € loyer 40 % = 542 €
a) hausse du SMIC de 1977 à 2005 = 412 % b) hausse du loyer de 1977 à 2005 = 721 %
Ce qui démontre que si les loyers ne sont actuellementpas trop élevés ce sont les salaires qui sont trop bas.
Pour ma part je considère qu'un smicard devrait consacrer entre 25 et 30 % de ces revenus pour payer son loyer.
Exemple : loyer 542 € salaire 2168 € ou 25 %
A mon avis les loyers sont trop chers.( 25 % de 1357 € = 400 € )
Cordialement.
Roland MAILLET
Bonjour, Roland MAILLET, Attention,un smicard ne dispose pas des 1357€ mais plutôt d'environ 1000€!
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Edité par - MARGOULIN le 18 janv. 2006 12:02:46 |
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Roland MAILLET
Pilier de forums
1096 réponses |
Posté - 18 janv. 2006 : 12:11:26
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Coimplétement d'accord avec vous Margoulin Et avec 1000 € même avec une APL qui se réduit le loyer reste une part importante du budget il n'y a que deux solutions.
Ou l'on diminue les loyers ou l'on augmente le salaire des ouvriers qui ne peuvent accéder à la propriété.
Le logement est un droit et non une marchandise.
Cordialement
Roland MAILLET |
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quelboulot
Modérateur
6445 réponses |
Posté - 18 janv. 2006 : 13:38:37
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Citation : http://www.insee.fr/fr/ppp/publications/collect_som.asp?coll=2&paru=1&avis=1&pres=1
Pourquoi les ménages pauvres paient-ils des loyers de plus en plus élevés ?
Gabrielle Fack Depuis la fin des années 1970, les aides directes à la personne sont devenues l’instrument majeur de la politique du logement au détriment des aides à la pierre, dont l’efficacité avait été remise en cause lors de la réforme de 1977. Les aides à la personne permettent, en théorie, de mieux cibler les populations pour qui le logement, qui demeure le premier poste de consommation des ménages, représente une charge jugée trop importante. Or le développement de ces aides s’est accompagné d’une augmentation du coût du logement pour les ménages locataires les plus défavorisés et l’on cherche à en évaluer l’impact sur l’augmentation des loyers des ménages à bas revenus.
La réforme de l’extension des aides du début des années 1990 constitue une expérience naturelle qui permet d’isoler les effets des allocations logement, car elle s’est appliquée seulement à certains types de ménages et non à d’autres. On peut ainsi comparer l’évolution des loyers des ménages à bas revenus bénéficiaires de la réforme à celle des ménages qui n’ont pas été touchés et identifier les effets de la réforme pour les ménages concernés.
À partir de données des enquêtes Logement de l’Insee, on montre que les aides pourraient bien être, pour une bonne partie, responsables de la hausse du loyer au mètre carré des ménages à bas revenus. D’après les estimations obtenues, entre 50 % et 80 % des allocations logement perçues par ces ménages auraient été absorbées par les augmentations de leurs loyers. N° 381-382 - oct 2005 (Format PDF : 207 ko)
Rajoutons aux éléments précédemment cités, l'absence totale de mobilité dans le parc HLM, sauf dans le sens de demandes de logements de superficie supérieure, mais jamais ou presque dans le sens inverse, tant en ce qui concerne le relogement en fonction des évolutions familiales (décroissance du nombre de personnes dans la cellule familiale dès l'âge de 40 à 60 ans) ou encore la "sortie" du parc HLM pour ceux dont les revenus ne justifient absolument plus leur présence dans ce type de logements ! (et ce, sans parler des attributions de passe-droits).
Et, ne m'opposez pas l'existence des surloyers, qui dans certains cas prêtent vraiment à sourire en raison des revenus de certains qui justifieraient pleinement l'éviction du parc HLM avec bien entendu les préavis ad-hoc.
Christophe |
Edité par - quelboulot le 18 janv. 2006 13:41:28 |
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MARGOULIN
Pilier de forums
880 réponses |
Posté - 18 janv. 2006 : 14:12:31
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Citation : Initialement entré par quelboulot
Citation : http://www.insee.fr/fr/ppp/publications/collect_som.asp?coll=2&paru=1&avis=1&pres=1
Pourquoi les ménages pauvres paient-ils des loyers de plus en plus élevés ?
Gabrielle Fack Depuis la fin des années 1970, les aides directes à la personne sont devenues l’instrument majeur de la politique du logement au détriment des aides à la pierre, dont l’efficacité avait été remise en cause lors de la réforme de 1977. Les aides à la personne permettent, en théorie, de mieux cibler les populations pour qui le logement, qui demeure le premier poste de consommation des ménages, représente une charge jugée trop importante. Or le développement de ces aides s’est accompagné d’une augmentation du coût du logement pour les ménages locataires les plus défavorisés et l’on cherche à en évaluer l’impact sur l’augmentation des loyers des ménages à bas revenus.
La réforme de l’extension des aides du début des années 1990 constitue une expérience naturelle qui permet d’isoler les effets des allocations logement, car elle s’est appliquée seulement à certains types de ménages et non à d’autres. On peut ainsi comparer l’évolution des loyers des ménages à bas revenus bénéficiaires de la réforme à celle des ménages qui n’ont pas été touchés et identifier les effets de la réforme pour les ménages concernés.
À partir de données des enquêtes Logement de l’Insee, on montre que les aides pourraient bien être, pour une bonne partie, responsables de la hausse du loyer au mètre carré des ménages à bas revenus. D’après les estimations obtenues, entre 50 % et 80 % des allocations logement perçues par ces ménages auraient été absorbées par les augmentations de leurs loyers. N° 381-382 - oct 2005 (Format PDF : 207 ko)
Rajoutons aux éléments précédemment cités, l'absence totale de mobilité dans le parc HLM, sauf dans le sens de demandes de logements de superficie supérieure, mais jamais ou presque dans le sens inverse, tant en ce qui concerne le relogement en fonction des évolutions familiales (décroissance du nombre de personnes dans la cellule familiale dès l'âge de 40 à 60 ans) ou encore la "sortie" du parc HLM pour ceux dont les revenus ne justifient absolument plus leur présence dans ce type de logements ! (et ce, sans parler des attributions de passe-droits).
Et, ne m'opposez pas l'existence des surloyers, qui dans certains cas prêtent vraiment à sourire en raison des revenus de certains qui justifieraient pleinement l'éviction du parc HLM avec bien entendu les préavis ad-hoc.
Christophe
Quelboulot, C'est ça,c'est criant de vérité par rapport à ce que j'ai pu remarquer! |
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Stady
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654 réponses |
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quelboulot
Modérateur
6445 réponses |
Posté - 19 janv. 2006 : 00:54:01
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Stady,
J'aimerais vouloir en être certain, mais je dirais : "mouais..."
Vous connaissez comme moi les assistantes sociales des entreprises qui ont "un quota" dans ce type de logements et des attributions parfois "limites" qui sont effectuées, parfois pour des enfants d'employés, ect ...
Donc, disons pour être franc, je veux bien admettre qu'il y a moins de "passe droits".
Est-ce que cette formulation vous irait mieux ?
Christophe |
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