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mathieu68
Pilier de forums

409 réponses

Posté - 06 oct. 2004 :  21:46:33  Voir le profil
suite à dernière remarque spoum.

Juste une idée.

Vous faite une une vente à un prix raisnnable à votre (vos) enfant avec un crédit long. Vous constituez de nouveaux oeufs à diversifier. Vous repartez sur un ou plusieurs investissement avec un financement long qui vous donne un revenu complémentaire direct.

Pour vos enfants, vous pouvez vous occupez de la gestion.

Remarque : je suis un comptable qui aime rêver.
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spoum
Pilier de forums

276 réponses

Posté - 06 oct. 2004 :  23:17:52  Voir le profil
houah , superbe idée , Mathieu68,

difficile à appliquer à ce jour mais reportable aux 25 ans de mon cher petit ( actuellement fiscalement lié à son père ,avec des demi-frère et soeur à la clé , donc trop tôt)

merci aussi pour toutes vos informations claires et précises

je tiens déjà des comptes détaillés et des prévisions chiffrées jusqu'au delà de ma période de remboursement...
et des tas de simulations et de calculs ...
et aussi des plans sur la comète....c'est bon de rèver...


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inser
Pilier de forums

312 réponses

Posté - 07 oct. 2004 :  08:47:36  Voir le profil
euh....BORA BORA OU TAHITI ?Je suis du meme avis que vous car l'immobilier permet de se constituer un capital/patrimoine à partir de crédit ce que la bourse ne permet pas!! Les petits ruisseaux font de grosses rivieres,non ?
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mathieu68
Pilier de forums

409 réponses

Posté - 07 oct. 2004 :  08:58:01  Voir le profil
Question à tous.

Quels sont vos situations : nobmre de locations, durée de financement et mode (amortissable, in fine).

Pour ma part, actuellement 16 locations financer à "110 %" par un crédit amortissable sur 22 ans (banque allemande).
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inser
Pilier de forums

312 réponses

Posté - 08 oct. 2004 :  19:10:19  Voir le profil
bonsoir

Inutile de poser ce genre de questions à nos chers contributeurs, ils sont tous muet et suspicieux quand on pose des questions sur leurs patrimoine respectifs!!
J'avais une fois posé ce genre de questions sur le nombre de biens que nos contributeurs disposaient, et vous vous doutez de leurs réponses !!!!!!!!!!!
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mathieu68
Pilier de forums

409 réponses

Posté - 09 oct. 2004 :  09:15:09  Voir le profil
A l’attention d’inser.

J’ensuis attristé si votre remarque est juste. Moi j’ai rien a cacher et je préfère partager mes expériences, la vie est parfois si courte !

J’aimerai tout de même que quelqu’un m’aide à redescendre sur terre.

En effet, selon mes simulations, avec des investissements portés à 100 locations (ce qui me semble possible), l’investisseur peut dégager un revenu mensuel quelque part entre 5000 et 7500 € après impôts et disposer d’un patrimoine net actualisé à +25 ans que j’estime à 4 500 000 €. (actualisé = euros d’aujourd’hui)

Si mes prévisions sont justes, j’ai l’impression d’avoir réinventé la planche à billets. Je pense que je ne suis pas le seul à avoir cette idée, mais pour le moment je n’ai rencontré personne qui va dans le même sens que moi.

Précision : étant comptable à un niveau supérieur, je connais les calculs financiers et la fiscalité

Cela fait 6 ans, que j’ai fait le premier pas sur 16 appartements et cela semble fonctionné comme prévu. Cette première phase m’a permis de corriger un certains nombres de points afin d’améliorer la rentabilité.

Maintenant, je suis devant la décision à prendre « faut-il monter en puissance »
Le gain précité semble tellement élevé que je me pose parfois la question, « mais où est l’erreur »

100 locations, c’est faisable, presque un job de retraité. Si de plus on peut en vivre, libérer un emploi et payer beaucoup d’impôts, tout le monde en sera content.
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Prados
Pilier de forums

3625 réponses

Posté - 09 oct. 2004 :  17:14:37  Voir le profil
Mathieu68,

Votre plan est parfaitement correct, sur le papier.
Ensuite, il faut passer à la pratique.
1. Trouver une ou plusieurs banques qui vous prêteront de quoi acheter le partimoine de départ. C'est déjà pas facile.
2. Prévoir les gros tavaux et les coups du sort car, à ce niveau d'investissement, il faut avoir les reins solides, financièrement parlant.
3. C'est une bêtise au niveau patrimonial, de miser 100% de ses avoirs (surtout s'ils sont conséquents) sur le même cheval.

C'est d'ailleurs ce dernier point qui risque d'empêcher les banques de vous faire des prêts.

J'ai fait le même rêve que vous en 1987 avec l'immobilier et, dans une moindre mesure, puisque déjà vacciné, en 1999 avec la Bourse.
Je me voyais déjà rentier dans les 2 cas et vivant de mes avoirs.

Bien qu'aujourd'hui j'ai plus de patrimoine que ce que je n'avais rêvé à ces époques, je continue à avoir une activité professionnelle, passionnante sur le plan technique et très intéressante d'un point de vue social, et je pense même continuer cette activité le plus longtemps possible car elle me permet également de m'informer efficacement afin d'optimiser les arbitrages et la gestion de mon patrimoine.

Enfin, pour répondre à votre question, j'ai un patrimoine réparti actuellement en 45% de monétaire, 27% d'immobilier et 28% d'actions.

Vous noterez la forte proportion de monétaire, car j'ai vendu des actions de 1999 à 2002, et j'ai vendu de l'immobilier depuis 2001.
J'ai commencé à racheter des actions depuis 2003, et je suis toujours vendeur d'immobilier actuellement.

Sachant que j'ai dit que je gérais un nombre de biens immobiliers un peu supérieur au vôtre, mais dont certains appartenaient à mes beaux-parents, vous avez tous les éléments que je souhaitent rendre publiques sur ce forum en ce qui me concerne.



Prados
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mathieu68
Pilier de forums

409 réponses

Posté - 10 oct. 2004 :  09:54:38  Voir le profil
Merci pour votre réponse Prados.

La quasi totalité de mon petit patrimoine actuel est dans l'immobilier. Ne souhaitant pas vendre pour le moment, je n'ai pas de quoi diversifié. De plus, la bourse n'est pas quelque chose qui m'a réussit jusqu'à présent.

Effectivement, avec les investissements immobiliers, une fois qu' l'on a trouvé comment il fallait faire en terme de financement, encore fat-il trouver les banquiers qui vous suivent.

Mon argumentation :
Plus la durée de financement est longue, moins le banquier prend de risque
Empruntant à 110 %, le niveau 100 % (valeur actuel / capital emprunté est atteint après 2 ou 3 ans d'exploitation. 70 % après 10 ans. La banque est couverte par une garantie réelle sauf au départ.
Reste le risque de non-paiement des échéances. A mon avis, ce risque est moindre, voir nul, si le remboursement représente 60 % des loyers potentiels.
De plus, si le risque d'impayé devient nul, le problème de taux d'endettement de l'investisseur n'existe plus.
Dans cette approche, la multiplication des investissements devient possible.

Contrairement à un financement court, le financement long permet de diminuer le risque d'exploitation et de permettre un développement des investissements. Cette possibilité de développement rapporte plus à l'investisseur qu'une discussion de 0.5 % sur le taux d'intérêt (même si cela n'exclus pas cette négociation)

Je regarde l'activité d'investissement immobilier locatif comme une entreprise en très simplifié. Problème de choix de l'acquisition et d'un financement adapté, quelques questions de gestion de l'entretien et des locataires (clients). Gain réel important dans la durée, si l'on tient compte de la plus-value. Pas de problème de personnel, de production,…

Si les problèmes de gestion son étudiés, si les financements sont possibles, si un premier investissement vient valider les prévisions, il ne reste plus qu'à mettre la machine en route. Rendez-vous dans dix ans.
J'aurai peut-être la réponse à ma question : jusqu'à combien de locations peut-on aller ?
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passou
Contributeur débutant

22 réponses

Posté - 10 oct. 2004 :  21:08:24  Voir le profil
salut mathieu68.

le seul hic de votre stratégie, a laquelle on peut adherer surle papier est que les banques refusent de financier un tel patrimoine sans garantie (autre que ippd).
De plus, obtenir un 110% est certes en train de se democratiser mais reste tres limité.
Je suis expert-comptable, salarié et j'ai beaucoup de mal à faire financer mes investissements immos, du fait que les banques rstent sur une logique d'endettement personnel (et si les locaux restent vides ??? ).

Je suis preneur des coordonnées de votre banque et surtout de votre banquier qui a l'air d'avori compris quelque chose à l'immobilier, lui

mon patrimoine, à 31 ans , sans aucun apport ni héritage : 1 studio a paris 16eme, 2 f2 a paris 18eme, 2 f4 dans le 94, un f3 au ski en acquisition et un f3 a aubervilliers en acqisition egalement.


pour realiser cela, j'ai eu besoin de 3 banques differentes, des biens mis dans des sci soumises a l'IS (pas d'info sur la feuille d'impot tant qu'il n'y a pas de distribution).

Par contre c'est vrai que je n'avais jamais penser à votre stratégie tres long terme permettant d'avoir un revenu mensuel certes faible mais dès le premier mois .... pas idiot du tout....disons que vu comme je suis parti je vais arriver d'ici 8 a 9 ans a ne plsu avoir besoin de travailler considérant mes besoins mensuels.

voila

en tout cas merci poru votre témoignage qui m'a apporté une vraie reflexion sur ces investissements long terme.


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mathieu68
Pilier de forums

409 réponses

Posté - 11 oct. 2004 :  00:06:24  Voir le profil
A l'attention de Passou

Je suis content qu'une personne ait une écoute favorable à ma démarche.
Je suis également proche de l'expert-comptable (manque le mémoire) mais j'hésite à le dire face à toutes ses personnes compétentes, financiers, expert en patrimoine, banquiers qui n'ont pas l'air de comprendre.

Pour votre remarque de trouver le banquier, cela fait pas mal d'années que je bassine les banques avec mon raisonnement de long terme pour moi-même ou pour des clients. Il y a 5 ou 6 ans on bloquait à 20 ans. Aujourd'hui on arrive à discuter plus facilement à 25 ans et même à 30 ans. Pour ma part, je discute le maximum, 30 ans avec palier progressif de 10 % touts les 5 ans ( en France, essentiellement avec le crédit mutuel), 35 ans avec une banque Allemande.

Pour ce qui est du taux d'endettement :
Premièrement, il faut un banquier ouvert sur discussion du mode de calcul taux d'endettement, sinon on peut passer au suivant. La situation que vous décrivez est plus difficile à défendre. En effet, si vous cherchez des appartements isolés même si le remboursement représente 60 % du potentiel loyer, la situation d'impayé ou de vacance possible va ouvrir la porte à la notion de contribution de l'investisseur et donc de son taux d'endettement. Par contre, sur un niveau d'investissement plus important pour atteindre la situation de risque il faut que plusieurs appartements soit vide ou vacant en même temps. Cette situation moins probable va rassurer le banquier. D'autre part dans ce type d'opération, un banquier compétent va surtout regarder la "qualité" de l'investisseur (compétence, stabilité, …) Pour le 110 % ce facteur est sans doute plus important qu'une garantie complémentaire.

Pour ma part, mon premier investissement je l'ai réalisé il y a 6 ans sur 14 locations dans un même immeuble. Montant achat 2.4 MF ( on est pas sur région parisienne), montant emprunté 2.75 MF sur 22 ans avec accord de la banque pour un complément de crédit et un rallonger la durée le jour de la réalisation de travaux de façades nécessaire, mais pour lesquels j'attends une imposition fiscale plus forte.
Aujourd'hui, mon rapport remboursement / loyers potentiels est de 52 % et je compte pouvoir le descendre à moins de 40 % dans deux an. Mon taux d'endettement actualisé ( capital restant dû / valeur estimée selon marché ) 70 %

Après cette première expérience, je sais que le gain sur ces investissements est très important, mais il faut adapter le financement pour faire ressortir les fruits de ce gain et au moment que l'on a choisit. Et ce ceci passe par le type de financement. En conclusion, pour mes prochains investissement avant la signature d'un compromis, je veux être sûr à 100 % que j'obtiens le financement voulu.

De votre coté, je serais intéressé par vos motivations de la solutions SCI avec option IS. Que se passera-t-il lors de la réalisation du bien et des distributions. Je n'ait jamais pratiqué cette orientation qui, a priori, ne me plait pas.
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passou
Contributeur débutant

22 réponses

Posté - 11 oct. 2004 :  01:00:37  Voir le profil
j'ai peur que votre schéma ne marche qu'en dehors de paris, parce que avant que je n'achete un immeuble avec 14 locations dans paname

bon pour l'is,tout me plait dans cette solution :

1. je n'ai aucune intention de revendre quelque bien que ce soit . Si j'ai un gros soucis, j'ai cependant les 2 premiers apparts detenus en propre

2. je n'ai aucune envie que mes enfants dilapident le patrimoine: cette option peut aussi les en dissuader

3. fiscalité : il me parait hallucinant d'etre imposé sur ce que l'on ne perçoit pas ...or comme j'emprunte à 100% et que le schéma implique seulement un équilibre financier, je refuse de voir quelque somme que ce soit dans am feuille d'imposition sans que le cout des emprunts en soit pris en compte.
ensuite, tout y passe au niveau des frais : carte oraneg, etc..les frais du gérants sont deductibles, un jour je pourrais aussi me verser un salaire (retraite, sécu...), bref c'est une société normale...

4. pas d'impot "personnel" tant qu'il n'y a pas de dividende...or si on arrete progreesivement de bosser poru s'occuper de son immobilier, ca devient interessant de pouvoir choisir quand on sera imposé ...je considere bien sur que l'is est un impot "normal" etant donné qu'il retient toutes les charges de la sci, et colle a la réalité.

5. pour moi qui partait sans apport, sans garantie, vouloir faire plusieurs opé, c'etait obligatoirement avec plusieurs banques : la sci a l 'is apporte une opacité énorme, avant que les banquiers comprennent qu'on puisse avoir des "revenus" immobiliers n'apparaissant pas dans la déclaration de revenu ...


bien sur l'inconvenient c'est l'impot sur les plus-values a la revente
Mais je considere que j'ai deux biens détenus en propre, ce qui devrait suffire, et aussi je m'enrichis grace au loyers perçus (je ne met pas un centime), donc a la limite payé une plus-value un jour sur un bien qui me sera tombé du ciel ...bon ....allez j'accepte...

les gens ne choississent pas l'option IS car en général il faut savoir faire une compta "commerciale", et ils sont trop radins poru prendre un expert-comptable (alors que le moindre plombier va facturer son dépalcement 100 euros sans que ca choqu personne ...)
et pusi il y a le probleme de la revente que j'ai déjà expliqué poru ma part

voila c'est à méditer si vous multiplier les investissements, car rien ne vosu empeche de vous verser un salaire de gérant, de passerr les cotisations sur la sci, etc....
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mathieu68
Pilier de forums

409 réponses

Posté - 11 oct. 2004 :  10:04:23  Voir le profil
Vos remarques me permettent effectivement une réflexion plus approfondie sur cette voie.

L’optique d’un mix entre les deux formules IR/IS peut être intéressant. J’avait un problème dans mon orientation tout IR et arrêt de l’activité professionnelle en raison de la couverture sociale. La solution d’une autre SCI avec une option IS peut y répondre.

La solution IR avec forte imposition présente un autre avantage, à savoir une réduction du coût (proportionnel au taux d’imposition) lors de la réalisation de travaux. Surtout si ces travaux sont financés par un emprunt.

« payer des impôts sur ce que l’on a pas » Je corrige cette situation par un financement très long. Evidemment, cette solution fait payer beaucoup d’impôts, mais j’arrive dans mes prévisionnels à le limiter à 50/50 maximum. Sur 80 ou locations (chez nous), il reste tout de même un revenu appréciable, dès le départ, et avec une progression sympathique d’au moins 5 % l’an.

Il est certain qu’un investisseur en immobilier locatif ancien doit accepter, dès le départ, à payer des impôts. Je pense effectivement que les experts-comptables, malgré leur coût, peuvent apporter à l’investisseur une aide en terme de comptabilité, suivi financier et optimisation fiscale (PUB). Toutefois, il vaut mieux que ce dernier en ai la pratique.

Région parisienne : si 14 locations sont difficiles à réaliser, je pense qu’un immeuble ou ensemble d’appartements de 4/5 suffisent pour diviser le risque sur un site.

Autre question : quel est votre point de vue sur les investissements avec défiscalisation (robien, …). Personnellement, je ne suis pas convaincu de l’intérêt réel. Effet limité sur la réduction d’impôts, vue à court terme, plus-value peu probable après la phase de gain fiscal sauf situation spéculative, … Je préfère un nouvel investissement classique.
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inser
Pilier de forums

312 réponses

Posté - 11 oct. 2004 :  10:28:20  Voir le profil
bonjour

Euh...Vous connaissez cette maxime ? On ne prêtre qu'aux riches!!!
C'est malheureux mais la personne qui ne dispose pas " au départ" d'un capital ou de garantie familiale aura le plus grand mal à faire financer ses investissements immobiliers!!! La solution peut être se trouve dans le choix de la durée des credits (25/30ans) que préconise MATHIEU ce qui permettrait de rembourser ses mensualités "confortablement" ainsi en cas d'impayés tres peu d'impact, tout en se rémunerant grâce aux résiduels !!!!!!!
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passou
Contributeur débutant

22 réponses

Posté - 11 oct. 2004 :  11:40:53  Voir le profil
pour la defisc, je dirais que pour l'instant je n'en ai pas besoin, du fait d'une situation fiscale particuliere et avantageuse.

cependant, je ne suis pas chaud pour 2 raisons :

1. pourquoi aller acheter un appart dans la banlieue de cherbourg, la ou je n'ai jamais mis les pieds et la ou je n'ai jamais eu l'idée d'acheter ?
il faut dire aussi que la plupart des montages integrent des plus-values fumeuses à la revente, bref je suis pas encore pret...

2. les investissements que je fait ont sur 15 ans de toute façon une rentabilité bien supérieure à ces defiscalisations, étant donné que je ne met pas un centime dans les montages, je n'ai pas besoin de "prélever" sur mes impots pour financer quoi que ce soit.

Mais mon avis n'ets pas encore tranché sur la question. Le simple plaisir de ne plus payer d'impot pourrait à l'avenir me convaincre que c'est une bonne chose ...

mais je pense que pour vous comme pour moi, le fait d'avoir trouver un bon filon rentable comme on l'entend ne nous oblige pas à courrir vers un systeme ou le premier beauf venu qui gagne 2000 euros net par mois fait de la "DEFISC" .... ca ne me rassure jamais trop les moutons de panurge ...
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Fanfan_91
Nouveau Membre

5 réponses

Posté - 11 oct. 2004 :  20:58:31  Voir le profil
Bonjour,

Je trouve vos expériences très intéressantes et vous remercie de nous les faire partager.

J'ai plusieurs questions à la lecture de vos interventions mais une en particulier me fait réfléchir depuis pas mal de temps sans pouvoir vraiment y répondre.

Quels avantages à créer une SCI :

- Séparer l’immobilier du professionnel (dans quel but) ?
- Transmission du patrimoine à ces enfants ?
- Défiscalisation ?
- Autres intérêt que je ne soupçonnerai pas ?

Qu’en est-il ?

Personnellement je possède 5 appartements et 2 garages également en Alsace et 3 appartements en région parisienne ou je demeure.
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mathieu68
Pilier de forums

409 réponses

Posté - 12 oct. 2004 :  13:12:41  Voir le profil
La SCI est un cadre juridique permettant de séparer les investissements du patrimoine personnel. On est propriétaire des droits sur la société et non des biens.

Chaque formule, possession directe ou indirectement par une SCI, présentent des avantages et inconvénients qu’il faut prendre le temps d’étudier pour faire son choix. A noter que même les personnes averties utilisent les deux formules.

Avantages :
Séparation du patrimoine
Gestion des investissements séparées
(séparation de comptes, comptabilité, analyse de résultat
Possibilités d’acheter à plusieurs (plus facile qu’une indivision)
Possibilités de transmission plus importante
(cession des immeubles ou des parts, cession partielle, progressive)

Inconvénients
Essentiellement un problème de coût de création et de fonctionnement
Connaissance ou information juridique

Défiscalisation
On va parler d’optimisation. Voir les remarques de passou pour les SCI avec option IS (impôt sur les sociétés). La SCI sans option est imposable directement à l’IR(impôt sur le revenu). On parle de transparence fiscale.
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mathieu68
Pilier de forums

409 réponses

Posté - 29 nov. 2004 :  21:38:41  Voir le profil
Je me permets de revenir sur mon thème.

Je pense aujourd'hui que l'objectif de 100 locations n'est pas utopique.
J'ai à travailler pour un client qui en est à 50 locations. Elle a un travail de salarié et lui une petite entreprise. Ils s'occupent eux-même de la gestion.

Trouver un banquier qui finance ? celà se trouve, si l'on arrive à présenter le sérieux de ses prévisions et un minimum de garantie complémentaire (10 %). Bref, il n'y a pas besoin d'être riche.

Je relisai aujourd'hui un thème ouvert il y a quelques années par Inser d'un investisseur à la tête de 30.000.000 de francs de patrimoine immobilier. Beaucoup de réactions négatives, mais je commence à croire que ce n'est pas impossible.

La rentabilité de l'investissement immobilier est réelle et effectivement plus importante que ce que certains dise (0-2%).

Le problème de l'investisseur est de transformer un maximum de la rentabilité globale en rentabilité net net. A mon avis cela passe uniquement par le mode de financement choisit.
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martin gal
Pilier de forums

1379 réponses

Posté - 29 nov. 2004 :  23:36:58  Voir le profil
mathieu68,
Quand vous avez acheté vos apparts (1998?), les prix étaient au creux de la vague. Ils ont monté depuis, bien plus vite que les loyers, autrement dit les rendements baissent. Il peut y avoir un risque à reproduire un schéma inchangé dans un environnement renouvelé. Mais cela n'a pas du échapper à votre oeil de comptable.
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jacquou
Pilier de forums

883 réponses

Posté - 30 nov. 2004 :  00:08:31  Voir le profil
On a déjà parlé - et quasi uniquement - des problèmes financiers, comptables et administratifs.
Si la gestion locative n'était que ça, alors oui.
Mais il y a tout l'aspect d'être à l'écoute et disponible pour ses locataires qu'il faut tous connaître.
A 14 logements en étant sur place OK, avec déjà beaucoup d'emmerdes car les locataires ne sont pas tous des saints.
Il faut penser à gérer e relationnel, les départs, la sélection des nouveaux locataires, les entrées, les EDL, les dégâts des eaux, les impayés, les contentieux de + en + nombreux, les entrepreneurs jamais là quand on a besoin d'eux etc. etc.

Bravo pour vos ambitions. Mais passez déjà à 30 logements pour voir. Et dans 2 à 3 ans voyez si vous suivez à l'aise avant de monter en puissance.
Achetez du neuf ou du récent pour avoir le moins de soucis d'entretien possibles, et sur une région économiquement solide.
Vous êtes apparemment en Alsace (68) et les alsaciens sont des gens sérieux et respectueux de leurs engagements, mais les nouvelles générations deviendront comme ailleurs en France. Précarité, chômage, RMI, accidents de la vie, non respect des biens d'autrui.

Bon courage

Jacquou
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mathieu68
Pilier de forums

409 réponses

Posté - 30 nov. 2004 :  09:20:56  Voir le profil
Plusieurs remarques suite à vos interventions.

Mon œil de comptable me fait observer qu’en 1998 on pouvait faire un achat d’immeuble à un rendement de 11-12 % avec des emprunts autour de 5 %. Aujourd’hui on achète à 9-10 % avec des taux autour de 4 %.
A mon avis, à conditions d’éviter les achats d’appartement isolé, la spéculation à une incidence très réduite. Le prix est déterminé par le potentiel de loyer et le coût de l’argent. Si j’achète aujourd’hui avec un taux fixe ou capé à 1 on ne risque pas grand chose à conditions d’investir sur la durée. Si dans un ou deux ans, le marché part à la baisse, et alors. Mon potentiel de loyer va continuer à augmenter plus ou moins, le coût de mon emprunt n’augmente pas ou de fàcon raisonnable, donc mon net net ne risque pas grand chose. Et donc, je ne suis pas pressé de vendre. De toute façon, ayant emprunté à 110 %, je part d’une position négative et je n’ai donc aucune intention de vendre.

Comme je l’ai déjà dit, les emmerdes avec les locataires ne sont pas pareil que vos investissements vous ramènent en net net 500 ou 5.000 euros par mois, et de plus que l’on a conscience que le gain global et 2 à 3 fois plus important.
Evidemment à 100 locations, cela occupe une personne à plein temps.

C’est la capacité que l’on a à améliorer le net net qui motive l’investisseur et qui lui permet d’avancer dans la voie de l’investissement immobilier.
Si un mois se déroule bien on a un revenu sympathique
Si un locataire ne paie pas ou partiellement ou autre on est pas dans le stress
Si une réparation est à faire alors que l’on souhaitais partir en vacance, on peut faire faire.

Autre remarque de comptable. Pour tous les nouveaux investisseurs, attention à la fiscalité des revenus. Je vois beaucoup de dossiers où le financement a été proposé par le banquier et où l’on omet l’imposition. Si sur un appartement cela peut passer, sur un investissement plus important les conséquences sont très importantes, surtout sur la durée
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